Le ramassage des coquillages : moules, huîtres, coques, etc.
Le ramassage des coquillages, comme la pêche et la capture de crabes, crevettes, etc., est soumis à une stricte régulation au Canada.
Tout d'abord il faut avoir un permis (licence) : 108$ pour l'année pour les non-résidents au Canada, ou les formules à 5 jours (33$), 3 jours (20$), ou à la journée (8$) ; gratuit pour les moins de 16 ans. Ces licences s'achètent un peu partout : magasins de sport, stations services, marinas, ou sur Internet (www.pac.dfo-mpo.gc.ca/recfish).
Il existe une petite brochure gratuite, " Tidal waters, sport fishing guide ", qui recense les zones fermées à la pêche et/ou au ramassage des coquillages (aussi sur Internet : www.pac.dfo-mpo.gc.ca).
Parce que voilà le problème, on ne peut pas les ramasser partout, surtout à cause de toxines qui contaminent les bivalves : huîtres, moules, coques, coquilles St Jacques, clams.
Il existe plusieurs types de contamination des coquillages :
Le " paralytic shellfish poisoning ", une algue microscopique produit une toxine qui s'accumule dans les bivalves, qui, si elle est consommée, peut causer une paralysie musculaire, voire la mort.
Le " amnesic shellfish poisoning ", même principe, mais les symptômes diffèrent : nausée, vomissement, diarrhée et perte de mémoire.
Le " vibrio parahaemolyticus ", une bactérie qui se développe dans les eaux plus tièdes en été, peut provoquer nausée, diarrhée et vomissement. Contrairement aux 2 précédentes, cette toxine peut être détruite par le froid (congeler les coquillages à -18°C, ou les réfrigérer à 4°C) et par la chaleur (cuisson des coquillages 5 minutes à 60°C).
C'est bien triste qu'il y ait toutes ces toxines, parce qu'il y a des coquillages partout, et facilement accessibles à marée basse. Mais à moins de contacter le bureau de Pêche et Océan à chaque fois, on ne peut jamais être sûr que les bivalves ne sont pas contaminées.
C'est un peu comme les poissons et la ciguatera, dans le doute on s'abstient !
Tout d'abord il faut avoir un permis (licence) : 108$ pour l'année pour les non-résidents au Canada, ou les formules à 5 jours (33$), 3 jours (20$), ou à la journée (8$) ; gratuit pour les moins de 16 ans. Ces licences s'achètent un peu partout : magasins de sport, stations services, marinas, ou sur Internet (www.pac.dfo-mpo.gc.ca/recfish).
Il existe une petite brochure gratuite, " Tidal waters, sport fishing guide ", qui recense les zones fermées à la pêche et/ou au ramassage des coquillages (aussi sur Internet : www.pac.dfo-mpo.gc.ca).
Parce que voilà le problème, on ne peut pas les ramasser partout, surtout à cause de toxines qui contaminent les bivalves : huîtres, moules, coques, coquilles St Jacques, clams.
Il existe plusieurs types de contamination des coquillages :
Le " paralytic shellfish poisoning ", une algue microscopique produit une toxine qui s'accumule dans les bivalves, qui, si elle est consommée, peut causer une paralysie musculaire, voire la mort.
Le " amnesic shellfish poisoning ", même principe, mais les symptômes diffèrent : nausée, vomissement, diarrhée et perte de mémoire.
Le " vibrio parahaemolyticus ", une bactérie qui se développe dans les eaux plus tièdes en été, peut provoquer nausée, diarrhée et vomissement. Contrairement aux 2 précédentes, cette toxine peut être détruite par le froid (congeler les coquillages à -18°C, ou les réfrigérer à 4°C) et par la chaleur (cuisson des coquillages 5 minutes à 60°C).
C'est bien triste qu'il y ait toutes ces toxines, parce qu'il y a des coquillages partout, et facilement accessibles à marée basse. Mais à moins de contacter le bureau de Pêche et Océan à chaque fois, on ne peut jamais être sûr que les bivalves ne sont pas contaminées.
C'est un peu comme les poissons et la ciguatera, dans le doute on s'abstient !